SORTIR EN AMOUREUX…
- Le Partageur rêveur
- 16 févr. 2019
- 2 min de lecture
Je fantasme à l’idée d’inviter ma copine sortir prendre un verre dans un club branché. Évidemment, nous nous faisons beaux pour la soirée; l’objectif étant – dans son cas – de faire tourner les têtes (c’est toujours agréable et c’est l’idéal pour booster la confiance en soi!).

Nous nous retrouvons sur une banquette et on prend un verre, regardant les gens, discutant, s’embrassant.

Après un premier verre, je l’invite à aller au bar nous en cherche d’autres en l’encourageant à accepter les compliments qu’elle recevra en chemin, car c’est certain qu’elle en aura.



Pendant qu’on boit notre deuxième verre, un très bel homme que j’aurai préalablement choisi en fonction des goûts de ma copine, se présente à nous – me reconnaissant comme un ami (mise en scène planifiée!). Je l’invite à s’asseoir et on discute. Il se met à complimenter ma copine, lui dit qu’elle est très jolie et je confirme, l’encourageant à poursuivre.
À un moment, je demande l’avis de ma copine sur la beauté de notre invité. Elle ne peut faire autrement que de le trouver de son goût. Je la tente, lui demandant comment elle se sentirait si elle embrassait un bel homme comme lui. Il y a une gradation dans notre discussion jusqu’à ce que je l’invite finalement à le faire.
Hésitante, elle finit par le faire. Elle embrasse notre invité! C’est trop bref, elle est gênée. Je l’encourage à recommencer. L’homme l’encourage cette fois-ci en étant plus actif.


Je lui demande ensuite ses impressions sur ce qu’elle vient de faire avant de l’embrasser à mon tour. Je lui mets ensuite sa main sur mon sexe afin de lui montrer l’effet qu’elle me fait et demande tout haut d’embrasser à nouveau « mon ami » et de vérifier s’il est aussi dur que moi en même temps; ce qui est le cas, évidemment!
Ouf, il commence à faire chaud et, comme je suis un mauvais danseur, je suggère à ma copine d’aller avec notre invité sur la piste de danse. Je les regarde se trémousser au son de la musique des années 1980 et 1990 qu’elle aime tant. Ils flirtent un peu.


Lorsque nous quittons le club, notre nouvel ami nous invite à prendre un verre chez lui – quelle coïncidence; il habite tout près et on peut s’y rendre à pied.


Dans son appartement, il nous offre un verre. Nous nous retrouvons tous les trois sur son sofa, ma copine au milieu et on se remet à s’embrasser. Cette fois, nos mains se baladent sur les cuisses de ma copine et disparaissent sporadiquement sous sa tunique, nos caresses lui faisant perdre la tête. Je l’invite à dévêtir notre nouvel ami et ils font l’amour sous mes yeux.


Lorsque nous quittons l’appartement, au milieu de la nuit, pour me remercier de lui avoir fait vivre ce type d’aventure, ma copine me suce jusqu’au bout, dans un coin sombre d’une ruelle…

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